Esprit Village

Au coeur de la commune, Esprit Village, avec ses bâtiments aux silhouettes modernes, ses terrasses et sa place arborée, re-dessine le centre-ville de Saint Laurent de Mure. Les couleurs claires et chaudes à la fois viennent contraster les garde-corps anthracites et donnent un caractère certain à la résidence.Du studio au 5 pièces, les appartements s'adaptent facilement à tous les modes de vie. Leurs points communs ? Des volumes optimisés, des pièces lumineuses et un chez-soi tellement agréable à vivre. Dans un style contemporain, les matériaux et équipements ont été sélectionnés pour vous offrir tout le confort moderne. La cuisine s'ouvre sur le salon avec des pièces à vivre aérées et conviviales. Les chambres quant à elles, offrent des espaces intimistes et douillets. Tout est réuni pour des moments de partage et de cocooning uniques. Le dernier étage bénéficie de grandes terrasses plein ciel. Pour toutes informations complémentaires, prenez contact avec nous !

• Ascenseur
• parking
• Digicode
• Interphone

Si Saint-Laurent-de-Mure a été choisie pour établir le programme « Grandeur Nature », c'est pour de bonnes raisons. Avec ses plus de 5 300 résidents principalement âgés de 45 à 59 ans, la ville appartient au Rhône, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Quand on démarre un projet, s'informer sur le marché de l'emploi dans une ville peut s'avérer essentiel. À Saint-Laurent-de-Mure, par exemple, de nombreux habitants y demeurent sans nécessairement y exercer. En 2016, ils étaient 73 % des actifs à se déplacer en dehors de leur commune tous les jours. On chiffre à 55 % la part des emplois de la région proposés par les commerces, transports et services divers, ce qui en fait les secteurs prédominants. En 2016, la plupart des Laurentinois étaient des :

• professions intermédiaires (27 %) ;
• employés (25 %) ;
• ouvriers (16 %).

La commune comptait cette année-là un chômage de 9 %, soit un taux plus ou moins le même que la moyenne du pays.

Le taux de propriétaires immobiliers atteignait, en 2016, environ 78 %. De plus, à hauteur de plus de 74 %, les Laurentinois résidaient depuis au moins 5 ans dans leur logement. On voit majoritairement des maisons. L'offre d'habitations est appuyée par l'activité des constructions entre 1971 et 1990. Durant cette période, c'est 42 % des habitations de la ville qui sortent de terre.