PTZ, l’essentiel en quelques mots
En premier lieu, le montant accordé ne constitue qu’une part de l’achat. Vous n’obtiendrez pas, par conséquent, une somme qui équivaut au prix d’achat du logement. De même pour vos projets de construction. Seule une partie du capital nécessaire sera accordée par la banque. Il faudra donc trouver une nouvelle source de financement pour compléter l’opération.
En second lieu, il vous faudra compléter le PTZ par un crédit supplémentaire. Ici, vous avez le choix entre un prêt conventionné, un crédit classique ou un crédit à l’accession. Et comme toujours, un apport personnel de votre part est exigé avant de pouvoir octroyer un prêt à taux zéro.
Néanmoins, dans tous les cas, le PTZ est dispensé d’intérêts. C’est l’État qui va prendre en charge tous les intérêts liés au PTZ.
Depuis l’année 2021, le prêt à taux zéro, également appelé prêt à taux 0 renforcé, se décline sous deux noms différents : le PTZ et le PTZ +. Sachez alors qu’il n’y a pas de grandes différences entre ces deux désignations. Le PTZ + est seulement une dénomination que l’État a donné suite à la nouvelle formule de PTZ instaurée en 2021.
Au fil des ans, on a eu droit à des changements en ce qui concerne le PTZ. Les décisions prises par le gouvernement ont entraîné des évolutions dans tout ce qui caractérise le prêt à taux zéro. En particulier au niveau des montants accordables, des plafonds de ressources et des opérations admissibles. Par conséquent, il y a une grande différence entre la version de 2014 et celle de 2016.